Créé de toute pièce, au lendemain des indépendances africaines, l’hebdomadaire « Jeune Afrique », jadis fleuron de la presse panafricaine, n’est plus que l’ombre de lui-même. Dirigé, avec amateurisme, par le tristement célèbre parrain du journalisme alimentaire, François Soudan, le journal fondé par feu Béchir Ben Yahmed, dans les années 60, bat de l’aile, se cherche désespérément.
Quitte à piétiner délibérément l’éthique et la déontologie du noble et beau métier de journalisme. Avec zéro crédibilité en Afrique et sur le Vieux Continent, « Jeune Afrique », en perte de vitesse, aux abois, cherche, vaille que vaille, à renaître de ses cendres, à redorer son blason, voire son image écornée par l’irresponsabilité notoire d’un journaleux.
Pour arriver à ses fins, le torchon de journal tente de jeter l’opprobre sur le dynamique et vaillant Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, Chef Suprême des Armées, Son Excellence le Colonel Mamadi Doumbouya.
Défait par un éprouvant passage à vide, la feuille de chou, nommée « Jeune Afrique », se démène comme un diable en perdition, dans le cynique dessein de s’offrir une publicité de rêve, au grand dam de la Guinée et de notre Messie National, le héros du 05 septembre 2021, le véritable libérateur du Peuple de Guinée, l’espoir de toute une nation.
C’est peine perdue, à croire que, malheureusement pour François Soudan et sa bande, les restes du torchon de journal ont perdu, depuis des lustres, l’aura, la crédibilité et l’audience dans les capitales africaines. Comme le disait l’autre, « le coassement de la grenouille ne peut pas empêcher l’éléphant de se désaltérer ».
Autrement, les agissements sataniques de « Jeune Afrique », ses contre-vérités, sa campagne à outrance de désinformation, ne viendront jamais à bout de la détermination, de l’incarnation de d’espoir, de la renaissance, prônées le Président-Colonel, Son excellence Mamadi Doumbouya, à l’effet d’accomplir, avec brio, sa noble et historique mission, qu’il s’est volontairement et patriotiquement assignée. Celle qui consiste à procéder à la refondation radicale et systématique de l’État.
« Le chien aboie, la caravane passe ». La caravane, dirigée avec sagesse, dextérité, lucidité, responsabilité et clairvoyance par l’illustre enfant de Kankan Nabaya, va transcender, franchir, honorablement, tous les obstacles empêchant de faire de la Guinée un pays normal.
Avec le Colonel-libérateur, qui maintient le pays dans le vert, depuis la date historique du 05 septembre 2021, la Guinée et les Guinéens vont gagner. N’en déplaise au torchon de journal « Jeune Afrique », réputé pour ses mensonges grotesques.
À vos ordres, mon Colonel !
Mandian Sidibé, Journaliste